"La sirène a de jolis seins… Qui a-t-elle entraîné dans son sillage ? (qui est la bête à lunettes, bien emmitouflée pour l'hiver – j'ai d'abord vu un seul animal à deux queues) ?" La dame discrète
"Trêve de mots! Mais les broderies sont bien éloquents. Un dieu bien ombrageux et une ondine bien prudente; "silence" appelle au silence, parenthèse avec blessure, je ne voit pas bien la cause, restes peut-être de l'accident au commencement de ton récit.
tiens tiens, décanter... m'as tu emprunté une de mes expressions du genre "michmich"? ou bien nous avons vraiment et définitivement le même langage? Cependant chez moi, décanter ne veux en aucun cas dire s'oublier, non pour moi, je laisse le marc de café descendre tout en bas, je laisse décanter, j'attends et puis je sublime... rien ne dois subsister au fond de ma bouteille, rien et surtout pas la tristesse ou la souffrance. Le seul limon que j'y autorise, c'est celui qui construit ma confiance en l'amour, au bonheur, je renvoie à l’expéditeur toute mauvaises ondes et douleurs, car en ce monde tout passe, mais les joies subsistes...je t aime très fort, haut les cœurs! sans cesse guettons le large, les pieds dans le sable chaud et l'écume fouettant nos jambes telle la petite sirène. Gardons les yeux grands ouverts avec le gout du sel sur nos lèvres because...On ne sait jamais ce que la marée déposera pour nous sur le rivage: des colliers de perles, des maman et des papa de rechanges, une fille perdue et retrouvée, un fils prodigue qui rentre à la maison
"Ce lion noir veille-t-il sur la belle sirène en croissant de lune ou la griffe-t-il de ses deux pattes-rapaces? J'aime les palmes bleues de la sirène en écho au bleu de ses yeux et de son encolure - et en écho au bleu des yeux de sa brodeuse -. J'aime aussi le rouille de sa queue en écho au bec et au col du rapace. j'aime l'écho de ces bleus à celui du costume de Sayonara 31 ce beau bleu fait une première, discrète apparition avec Sayonara 30, il s'épanouit et déploie toute sa splendeur chez S ayonara 31, il est toujours présent dans la parenthèse, intrigante, fascinante broderie: au-dessus comme un très beau poisson dans l'eau, en-dessous comme si la même forme se répétait...toute défaite, et pourtant encore bien belle Entre les deux...
Géniale l'intrusion de la brodeuse et le dialogue de Mme Sato avec sa créatrice! Mais voilà Mr Sato en poisson rouge dans un bocal, hé bien, Eppo, en voilà un fameux fantasme!
Merci Mary-Ann, merci ! et je vais vite achever la prochaine broderie...surprise, mais je crains hélas que Monsieur Satô ne tourne encore un peu de temps dans son bocal !!!
"La sirène a de jolis seins… Qui a-t-elle entraîné dans son sillage ? (qui est la bête à lunettes, bien emmitouflée pour l'hiver – j'ai d'abord vu un seul animal à deux queues) ?" La dame discrète
RépondreSupprimerCertainement une bête qui n'aime pas le froid !!!!! peut-être pas trop rassurée par la sirène !
Supprimer"Trêve de mots! Mais les broderies sont bien éloquents. Un dieu bien ombrageux et une ondine bien prudente; "silence" appelle au silence, parenthèse avec blessure, je ne voit pas bien la cause, restes peut-être de l'accident au commencement de ton récit.
RépondreSupprimerAutre chose mais ça doit décanter ! ça finira par se déposer tout au fond de la bouteille et s'oublier...
RépondreSupprimertiens tiens, décanter... m'as tu emprunté une de mes expressions du genre "michmich"? ou bien nous avons vraiment et définitivement le même langage? Cependant chez moi, décanter ne veux en aucun cas dire s'oublier, non pour moi, je laisse le marc de café descendre tout en bas, je laisse décanter, j'attends et puis je sublime... rien ne dois subsister au fond de ma bouteille, rien et surtout pas la tristesse ou la souffrance. Le seul limon que j'y autorise, c'est celui qui construit ma confiance en l'amour, au bonheur, je renvoie à l’expéditeur toute mauvaises ondes et douleurs, car en ce monde tout passe, mais les joies subsistes...je t aime très fort, haut les cœurs! sans cesse guettons le large, les pieds dans le sable chaud et l'écume fouettant nos jambes telle la petite sirène. Gardons les yeux grands ouverts avec le gout du sel sur nos lèvres because...On ne sait jamais ce que la marée déposera pour nous sur le rivage: des colliers de perles, des maman et des papa de rechanges, une fille perdue et retrouvée, un fils prodigue qui rentre à la maison
SupprimerPour moi je sais bien ce que la marée a déposé, il y a oui un peu plus d'un an : une fille toute faite, trop comment elle dit "michmich"
SupprimerTon imagination toujours aussi débordante me séduit ...! Continue.... tout schuss, comme aurait dit quelqu'un de notre connaissance ! L.
RépondreSupprimerOui mille fois oui : tout schuss ! et...haut les coeurs !
RépondreSupprimer"Ce lion noir veille-t-il sur la belle sirène en croissant de lune ou la griffe-t-il de ses deux pattes-rapaces?
RépondreSupprimerJ'aime les palmes bleues de la sirène en écho au bleu de ses yeux et de son encolure - et en écho au bleu des yeux de sa brodeuse -.
J'aime aussi le rouille de sa queue en écho au bec et au col du rapace.
j'aime l'écho de ces bleus à celui du costume de Sayonara 31
ce beau bleu fait une première, discrète apparition avec Sayonara 30, il s'épanouit et déploie toute sa splendeur chez S ayonara 31, il est toujours présent dans la parenthèse, intrigante, fascinante broderie: au-dessus comme un très beau poisson dans l'eau, en-dessous comme si la même forme se répétait...toute défaite, et pourtant encore bien belle
Entre les deux...
Géniale l'intrusion de la brodeuse et le dialogue de Mme Sato avec sa créatrice!
Mais voilà Mr Sato en poisson rouge dans un bocal, hé bien, Eppo, en voilà un fameux fantasme!
Merci Mary-Ann, merci ! et je vais vite achever la prochaine broderie...surprise, mais je crains hélas que Monsieur Satô ne tourne encore un peu de temps dans son bocal !!!
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