Pas facile de deviner le sapin et pourtant il est bien là !
En tout cas on voit bien la souris, enfin du moins il me semble
et tout un petit monde, je pense fragile !
Le magasin de piano était fermé, je suis entrée dans une mercerie ... vocation tardive !
vendredi 23 décembre 2016
mardi 13 décembre 2016
Crèche 2016
Bon Joseph fait un peu Punk ! Marie est replète ! L'ange est rose et bleu, pourquoi pas ? Un danseur venu tout droit du Brésil ! Le cheval à bascule que je n'ai jamais eu !
Pour le reste, pas défendu de rêver, broder !
Pour le reste, pas défendu de rêver, broder !
dimanche 27 novembre 2016
lundi 14 novembre 2016
Un pêle mêle
Je ne sais pas dire avec les mots alors je prends mes fils même le 9 novembre 2016, mais il aimait que je brode !
mardi 1 novembre 2016
samedi 22 octobre 2016
mercredi 19 octobre 2016
lundi 26 septembre 2016
Traces ! 26 septembre 2016
"La vie est ouverte : son élan ne la pousse pas à atteindre un point final mais à se poursuivre indéfiniment, comme l'araignée filant sa toile....dans les hasards de l'"improvisation". Mais improviser, poursuit Deleuze "c'est rejoindre le Monde, ou se confondre avec lui." tiré de Marcher avec les dragons, Tim Ingold, p.191
jeudi 15 septembre 2016
dimanche 4 septembre 2016
lundi 29 août 2016
dimanche 21 août 2016
lundi 8 août 2016
samedi 9 juillet 2016
vendredi 1 juillet 2016
Libélune voyage avec aiguille et fils dans le temps et pourquoi pas l'espace !
Bien sûr la lune
mais pour le moment la lune est...sur terre ! Remplie du chant des
oiseaux, des cigales et le soir venu du jeune renard et des 4
marcassins avec maman et papa sangliers !
Il est heureux
tout de même que les fils retiennent Libelune sinon qui sait elle
s'envolerait !
mercredi 15 juin 2016
La robe verte
Libélune déroula
le
parchemin : innocente ! Pas tant que ça ! Dans la forêt, elle y est
restée un peu...longtemps et elle n'a pas eu peur de l'homme,
c'était un homme mais elle savait qu'il était moine ! Moine d'où
elle venait ça laissait peu de chances de vivre. Mais il vivait dans
une sorte de grotte, son monastère avait été détruit, il avait
chargé une mule des manuscrits les plus précieux, abîmés.
Libélune s'était écroulée pas loin, il l'avait trouvé : une
femme mais jeune tout de même ! Il l'avait traînée, veillée, elle
s'était réveillée. Il l'avait nourrie, lui avait donné à boire,
ils s'étaient habitués l'un à l'autre, elle avait tenu le ménage,
un jour il l'avait trouvé penchée sur un manuscrit, elle avait levé
le bras. Non elle ne serait pas punie, qui sait...il se savait vieux,
il ne connaissait pas son âge mais il était vieux. Elle regardait
les enluminures comme fascinée. Il avait réfléchi, avait fouillé
dans un sac en cuir : un couvent où il avait trouvé refuge, une
religieuse, au fond jeune aussi, un peu comme cette petite, elle
brodait ! Une nuit il avait entendu le galop des chevaux, s'était
levé, avait été jusqu'aux chambres de religieuses, avait donné
l'alerte : ne s'étaient pas réveillées, il n'avait pas osé ouvrir
la porte du dortoir, il avait pris ses sacs et dans un sac de cuir
mis l'attirail de la brodeuse - il ne savait pas pourquoi ! -
MAINTENANT IL SAVAIT ! Il l'ouvrit, Libélune regarda, et appris
vite, parfois il l'entendait rire : elle brodait, il lui appris à
lire, elle apprenait vite. Cette fois-ci il n'y eut pas de chevaux,
mais si fatigué, elle le trouva endormi pour toujours, elle le lava,
lui ferma les yeux et le laissa "à la grâce de Dieu" prit
ses trésors, et trouva le chemin de la cathédrale et la maison avec
les morts et une croix rouge sur la porte. Elle effaça la croix, et
porta elle-même les morts jusque dans un puits où elle les jeta,
sur le puits elle traça une croix rouge, nettoya la maison et jeta
des herbes et en fit brûler dans la cheminée. C'était bien les
tailleurs de pierre au départ eurent peur qu'elle ait attrapée la
maladie ! Puis ils s'habituèrent, elle fit la cuisine, rendit des
services, et pu copier.
L'homme
chevauchant l'oiseau était terminé, il fallait, elle ferma les yeux
se rappela, pensa au moine : "Dieu n'a rien créé qui soit
insensible", et pensa-t-elle ce qu'elle brodait vivait pour Lui
mais plus encore espérait-elle pour sa mère ! Cette fois-ci ce sera
un dragon rouge, rouge comme le sang de sa mère, et l'autre serait
vert comme la robe de sa mère. Le muet était de retour, il avait
regardé, content l'homme et l'oiseau et maintenant il entendait sans
qu'elle parle, et elle aussi. Personne ne savait, ils n'en parlaient
pas et puis les hommes se préoccupaient peu d'eux, des idiots mais
Libélune avait son utilité faire à manger et il reconnaissait la
force des sculptures du muet. "Je sais qu'elle portait une robe
verte et quand l'heure sera venue je porterai, moi aussi, une robe
verte ! Il hocha la tête : "oui beauté, jeunesse et vigueur,
c'est tout ce qu'elle avait et probablement sa mère aussi" -
Cette nuit je ne crois pas que ce soit en brodant
ou en écrivant Libélune reproche à sa mère de l'avoir sauvée
tout en l'abandonnant ! Non la couleur verte signifie la vie pas la
mort, le vert au printemps qui renaît, le vert que je vois devant
mes yeux les oliviers, des verts différents : VERT RENOUVEAU !
- Et comment
sauras-tu que l'heure est venue ?
Elle le regarda
droit dans les yeux :
- Quand il fera de
moi sa femme !
Il sourit, elle
savait lui aussi, sans paroles mais elle avait appris à lire sur ses
lèvres ! Le silence sauveur pour lui, tailler la pierre pour ne pas
se servir de ses mains - puissantes - pour détruire ! Il cacha ses
mains derrière son dos.
Elle songea et moi
sans la broderie je mettrais ma robe verbe et grimperait jusqu'à la
lune.
mercredi 8 juin 2016
D'où vient Libelune
D'où vient Libelune
En ce temps là, à
l'époque de ce qu'on a appelé le bas Moyen Age, le Moyen Age tout
noir ! Il y avait des bandes affamées, destructrices et même les
châteaux forts - je me souviens du beau château-fort acheté à mon
fils probablement parce que j'avais toujours rêvé en posséder un !
- n'étaient pas à l'abri. Ils fondirent un matin alors que tous
dormaient, les gardes n'auraient pas dû mais voilà ils dormaient,
ils avaient un peu trop bu la veille, on fêtait la naissance de la
petite Libelune ! Sa mère qui n'exigeait jamais rien avait voulu
qu'on l'appelle comme ça, parce qu'elle était née alors que si
mince et si frêle croissant de lune apparaissait dans le ciel ! Elle
était dehors, regardait, pleura non pas parce que les douleurs
commençaient mais parce qu'elle entendit les chevaux, les a-t-elle
vraiment entendus ? Peut-être pas, mais elle avait des visions
disait-on. Elle rentra, ses femmes arrivèrent, elle dit : "l'enfant
s'appellera Libelune", personne ne discuta ! Pas même son
Seigneur et Époux, il est vrai qu'il fut sans doute un peu déçu
mais n'en laissa rien paraître ! C'était le premier, le second
serait sans doute un garçon : "Nous l'appellerons Libelune
Mamie si c'est ce que vous souhaitez". Après tout elle lui
avait amené bien des terres". Elle sourit et remercia
gracieusement, s'ils avaient eu plus de temps, il se serait aperçu
qu'elle n'était pas aussi douce et docile qu'il ne le pensait ! Mais
leurs heures étaient comptées, seulement ils l'ignoraient,
bienheureuse ignorance ! Les hommes étaient si ivres que beaucoup
moururent sans bien se rendre compte et les femmes si fatiguées, la jeune
mère le vit, elle prit l'enfant et le lui tendit, il le prit puis
reprenant ses esprits d'un coup de lance bien ajusté...Mais il fit
grâce à l'enfant.
Libelune fut nourrie
par une servante, elle n'était guère plus qu'un animal pour eux.
Quand on lui demanda comment il fallait l'appeler il répondit :
"elle a dit : Libelune". Elle s'éleva seule, jouait peu
avec les enfants et fuyait femmes et hommes. La nuit, elle se
glissait dehors, ils vivaient entassés dans de vastes tentes, et
elle regardait la lune, elle savait que sa mère y était et qu'un
jour elle la rejoindrait. Elle mangeait peu,
buvait peu mais avait grand appétit de vie ! elle n'était guère plus qu'un animal pour eux. Lorsqu'un des guerriers
s'aperçut que c'était une fille et bien jolie, il la coucha sur
l'herbe, elle se débattit, courut vers le chef et le
montrant du doigt, demanda vengeance. Ce fut accordé. Plus personne
ne l'approcha, mais d'autres vinrent et les tuèrent : tous sauf les
femmes qu'ils emmenèrent, ! Le soir elle se sauva, insignifiante,
personne ne fit attention, elle vécut dans la forêt puis se
retrouva à proximité de cette cathédrale en construction, elle
aima les sculptures, immédiatement, pour se nourrir, elle fit la
cuisine et lorsqu'un tailleur s'approcha de trop près elle retroussa
les lèvres, il eut peur : "on aurait dit une louve". Elle
tenait de sa mère !
Un jour arriva le
muet, on disait qu'il était muet parce qu'il ne parlait pas. Mais
après tout peut-être que simplement il ne voulait pas parler. Il
taillait merveilleusement bien, il aimait trouver des endroits
presque secrets. Lui aussi vivait à l'écart et ne se mêlait pas
aux autres qui pourtant ne lui en voulaient plus et on ne savait pas
pourquoi. Un jour, il frappa, elle ouvrit, il tendit sur la main une
petite statuette, et c'était elle, et elle tenait la lune du bout
des doigts, ou bien la lune était posée sur sa main comme un
papillon pouvait le faire. Elle sourit, et ouvrit la porte plus
grandement. Elle avait fait un feu, et y avait mis des pommes à
cuire sous la cendre, elle ajouta une assiette et un bol, il y avait
déjà le pichet d'eau. Il s'assit et mangèrent en silence. Elle
débarrassa, il ne l'aida pas, il la regardait. Sourit et dessina un oiseau avec le garçon. "Pour moi" ? de ses lèvres
serrées jaillit un oui ! Elle alla vers le coffre, choisit un tissu,
et refit le dessin, il sourit, se leva, alla vers la porte, se
retourna, fit un geste de la main, ouvrit et referma. Elle attendit
un moment, sortit : le mince croissante de lune brillait, elle songea
à sa mère, chuchota ou entendit chuchoter : Libelune.
Elle ne pouvait pas
dormir, elle alluma une chandelle, se tint tout près et commença à
broder.
dimanche 29 mai 2016
L'âne à la poupée
Il faisait un drôle
de temps ! A vrai dire elle en avait un peu assez, le temps ne
l'ennuyait pas trop mais sans doute elle vieillissait, il lui
semblait avoir mal dans tous les os ! Elle entrouvrit la porte, il
ne faisait pas encore assez clair pour que ça s'agite, juste le
chat, un chat noir, elle savait que ça portait malheur mais comme
elle n'y croyait pas elle le laissa entrer. Elle devait réfléchir,
elle s'assit en tailleur poussant un soupir de satisfaction, ça elle
savait toujours le faire ! "Le grand" avait terminé son ouvrage, il
allait en attaquer un autre et suffisamment loin pour qu'elle puisse
être bien tranquille. D'abord se faire une bonne infusion et du pain
: prendre son temps ! De temps à autre elle jetait un regard aux 3 jarres
qu'elle avait récupéré, enfin sa préférée, disons qu'elle se
l'était appropriée ! Une maison vide, la maladie disait-on, ça
s’attrape ! Elle haussa les épaules : des contes de bonnes femmes.
Hermétique, un vert très pâle. Non d'abord rincer son bol ! De la
patience ! Et puis c'était l'heure où on frappait souvent à sa
porte : des bobos, des chagrins, elle savait guérir !
Ce matin il n'y eut
personne, enfin ce n'était pas tout à fait vrai ! Elle regardait le
chat noir et c'est alors qu'elle vit la petite fille en pleurs. Une
drôle d'enfant qui lui rappelait quelqu'un : peut-être bien elle
quand elle était enfant, peut-être...Il y avait si longtemps !
Pourquoi pleurait-elle, c'est Chatnoir qui lui expliqua : elle avait
une poupée, et l'âne lui avait pris. L'âne songea-t-elle : quel
âne ? Était-ce un vrai âne ? Chatnoir soupira, excédé !
Décidément cette vieille femme ne comprenait rien, il aurait dû
chercher une autre maison ! Et bien l'âne n'existait pas plus que
lui et la fillette, enfin d'une certaine façon un peu plus : en
pierre. Libélune se risqua : "Le grand" ? Oui ! Elle hocha
la tête : dans sa quête d'images taillées...qui avait dit : "Tu
ne feras pas d'image ou quelque chose de ce goût" ! Idiot !
Elle avait déjà vu des ânes, elle se sentait assez proche des
ânes, comme l'âne à la lyre qui était trop bête pour jouer de
l'instrument dont il s'était emparé. Chaque fois ça lui faisait de
la peine, elle était certaine que l'âne n'était pas si stupide que
ça ! Peut-être, elle ne fit plus attention ni à l'enfant, ni au
chat, fouilla dans la jarre, il y avait là un bout de tissu en soie,
précieux, elle le prit et le fil pour les contours, elle était
devenue habile pour dérober les images des tailleurs de pierre. Elle
se drapa dans un châle qu'elle avait trouvé sur la morte
lorsqu'elle était entrée dans la maison et sortit, elle se hâta,
elle ne tenait pas à rencontrer "Le grand" ni d'autres
d'ailleurs. Elle leva les yeux vers le haut du chapiteau - elle avait
fort heureusement toujours de bons yeux - l'âne était là sans la
lyre, "Le grand" allait en faire une tête ! Il s'était
débarrassé de la lyre et tenait la poupée et cette diablesse de
fillette s'accrochait à l'âne, elle avait dû la suivre où
traverser le mur, allez savoir. Elle sourit et fit des voeux pour que
"Le grand" ne s'aperçoive de rien, ainsi, tous trois
resteraient peut-être pour l'éternité. Elle prit son fil et
reproduisit maladroitement : tout comme l'âne qui ne savait pas
jouer de la lyre, elle dessinait de façon toute approximative !
lundi 23 mai 2016
Après Jonas une sirène...
J'ai commencé par
Jonas, je suis bien toujours Libelune et même Sh T ChAd, brodeuse et
peut-être maintenant - qui sait jusqu'à quand ? - Une brodeuse
copieuse - c'était très mal vu à l'école de copier ! - seulement
voilà femme d'il y a très longtemps sur les pas des tailleurs de
pierre qui suit les accompagnants pour préparer les repas ou laver le
linge, j'étais moins sotte que cela paraissait ! J'avais avec moi du
mauvais papier - y avait-il du papier cette époque ? Et je recopiais
ce qu'ils taillaient - en douce - il me semblait que c'était mal mais
je ne pouvais m'empêcher ! Et lorsque je pouvais je retournais à mes
fils, à mes tissus et je brodais un peu ce que j'avais vu, un peu ce
que l'imagination me commandait !
Mais cette fois, en
regardant le chat d'Alice, "le chat d'Alice" qui était-ce ? Une autre époque j'imagine, je passe les époques comme les fantômes
traversent les murs, le chat m'intima l'ordre de dessiner la brodeuse
Sh T ChAd reconnaissable à ses nattes, devenue pour la circonstance
: une sirène ! A cette époque la sirène représentait la conscience
s'approchant de Dieu. Je ne sais s'il s'agit de Dieu, plus
probablement d'un "Tu dois...continuer" !
lundi 9 mai 2016
Une nouvelle aventure commencée...le 9 mai 2016 !!! Jonas...
Rome. Catacombes des Saints-Marcellin-et-Pierre – Jonas est recraché par la baleine. Baleine, drôle de baleine ! Je me suis reportée aux Écritures, il est question de poisson pas de baleine, mais même si on pense à un poisson, on a du mal à penser à un poisson ! Certes si on compare le modèle à mon dessin à main levée avec mon sens plus qu'approximatif du dessin, "le poisson est plus élancé", il n'en reste pas moins qu'il faut de l'imagination même sur la fresque à penser à un poisson, quant à Jonas j'avoue qu'à ma grande honte : je vous demande de vous reporter à l'iconographie, tellement plus élégant ! – si j'ai bien compris – probablement inspiré par le le style romain classique tardif, et qui sur la fresque semble danser ! Quant à être recraché !!! Et puis il y a les couleurs, difficiles à repérer sur mes modèles et que serait la brodeuse que je suis si je ne m'amusaispas avec les fils ! J'ai cependant délibérément choisi pour Jonas une teinte plus classique. Quant à la baleine, elle m'a fait penser aux diables, démons qui peuplent l'art roman et même chez les Celtes, alors j'ai opté pour le rouge. La baleine recrachant des enfers – son corps ! – Jonas!
mercredi 27 avril 2016
3 femmes
Après Rosa, Itô Noé, Kanno Sugaki (papillon jaune dans
les cheveux). Née le 7 juin 1881, petite enfance heureuse, mère qui
meurt, violée à 15 ans avec la complicité de sa marâtre. Mariée,
s'enfuit. Vit libre ET ALORS ! Journaliste, socialiste, anarchiste,
féministe. 1910 accusée de haute trahison visant à assassiner l'empereur
Meiji. Pendue le 24 janvier 1911, 2 minces fils, 12 minutes pour
mourir. La pauvre qui avait espéré mort décente, un journal publiera une
photo d'elle morte. Le temps de la broderie et sans doute après sont
devenues mes amies !
samedi 23 avril 2016
Li Naosuke
Li Naosuke en 1859 pour l'ouverture du Japon aux barbares ? Qui sont les
barbares : les Européens, les Américains, les Russes. Fait condamner
des dizaines de nobles et de Seigneurs qui étaient contre. En 1860, les
rônin (guerriers qui n'ont plus de maître) l'assassineront à leur tour :
Sakuradamon jiken.
Sans doute impossible d'arrêter un mouvement ! Je reviendrai à la troisième mais j'avoue avoir été tentée par le kimono à broder.
Bref ! je lis l'histoire du Japon en brodeuse assez...lunaire ! Que les Japonais me pardonnent !
Sans doute impossible d'arrêter un mouvement ! Je reviendrai à la troisième mais j'avoue avoir été tentée par le kimono à broder.
Bref ! je lis l'histoire du Japon en brodeuse assez...lunaire ! Que les Japonais me pardonnent !
mercredi 20 avril 2016
Il en manque une !
Il en manque une ! patience !
D'abord Rosa née en 1871, née en Pologne, juive. Coquette mais ça ne sera pas l'objet de ce qui suivra.
Même sort que Itô Noé née en 1895 au Japon. Massacrées. Les tortionnaires seront récompensés : fascisme !
D'abord Itô Noé, famille "tombe" dans la pauvreté. Aidée par un oncle bienveillant. École progressiste refusant adage patriarcal japonais : Bonne épouse, mère avisée. Comme si seulement au Japon !!!
En 1912, 17 ans : mariage forcé !
Adieu cerisiers, temples....
A suivre
D'abord Rosa née en 1871, née en Pologne, juive. Coquette mais ça ne sera pas l'objet de ce qui suivra.
Même sort que Itô Noé née en 1895 au Japon. Massacrées. Les tortionnaires seront récompensés : fascisme !
D'abord Itô Noé, famille "tombe" dans la pauvreté. Aidée par un oncle bienveillant. École progressiste refusant adage patriarcal japonais : Bonne épouse, mère avisée. Comme si seulement au Japon !!!
En 1912, 17 ans : mariage forcé !
Adieu cerisiers, temples....
A suivre
lundi 18 avril 2016
"L'ouverture forcée" ou figés...
"Inspirée" par une peinture chinoise, pas japonaise. Non pas pareil ! Et encore moins avec mes fils de brodeuse indisciplinée !
Japon fermé farouchement sur lui-même, et les requins tout autour...Farouchement, mais combat perdu d'avance ! Mais qui a perdu ?
Pas de mimétisme, il suffit de regarder un peinture chinoise, une peinture japonaise, prendre son temps !
Quant à Libelune, les personnages semblent pris comme dans la glace mais vont revivre, oui, comme l'eau qui coule n'est-ce pas Aurélien ?
Japon fermé farouchement sur lui-même, et les requins tout autour...Farouchement, mais combat perdu d'avance ! Mais qui a perdu ?
Pas de mimétisme, il suffit de regarder un peinture chinoise, une peinture japonaise, prendre son temps !
Quant à Libelune, les personnages semblent pris comme dans la glace mais vont revivre, oui, comme l'eau qui coule n'est-ce pas Aurélien ?
lundi 11 avril 2016
samedi 9 avril 2016
Petit poisson revêtu de ton armure
dans le monde de Madame Sakô et non elle n'a pas peur son coeur bat, vous ne voyez pas l'oiseau en surimpression, mais elle sait qui n'avalera pas le petit poisson oiseau revêtu de son armure d'argent, la libellule lui murmure des mots juste pour elle, le drôle de petit cochon la fait rire, il y a des drôles d'animaux et une fleur avec des fils si fin que je les emploie pour la première fois. Dehors il y a soleil et mistral, il ne doit pas faire chaud mais derrière la fenêtre, dans l'atelier je peux retrouver le monde de Madame Satô, j'aimerais aussi que... ce n'est pas possible, mais il aimait mes broderies.
Libelune
Libelune
dimanche 3 avril 2016
Némésis ?
Cette nuit j'ai rêvé. Vous souvenez-vous de Madame Satô partie dans son pays, le Japon, avec les cendres de son mari. Très vieille mais opiniâtre : elle a gravi la montagne, rencontré la panthère des neiges, déposé les cendres et...elle a retrouvé son mari.
Je me suis réveillée - ou j'ai cru m'être réveillée - elle se tenait au pied de mon lit semblable à la Madame Satô de toujours. Elle souriait. Elle m'a tendu le coupon de soie offert par Madame Yuko Murakami . J'ai pensé : il vient d'un kimono, ce n'est certainement pas vrai mais j'aime à me l'imaginer. Interrogative, j'ai levé les yeux...elle avait disparu, à sa place je devais broder peut-être ...Némésis. J'ai obéi, et je sais que Némésis ou quelque nom qu'elle porte me demande de retrouver la jeune femme - je sais que c'est une jeune femme qui a porté ce kimono, que j'obéisse à quelque chose mais je ne sais pas quoi encore.
Alors il me semble - avec crainte et tremblement - que je vais broder tout autour des oiseaux rouges en surimpression que vous ne pouvez pas voir, d'autres broderies qui peu à peu m'amèneront à la jeune femme. Elle m'appelle, je le sais !
Je me suis réveillée - ou j'ai cru m'être réveillée - elle se tenait au pied de mon lit semblable à la Madame Satô de toujours. Elle souriait. Elle m'a tendu le coupon de soie offert par Madame Yuko Murakami . J'ai pensé : il vient d'un kimono, ce n'est certainement pas vrai mais j'aime à me l'imaginer. Interrogative, j'ai levé les yeux...elle avait disparu, à sa place je devais broder peut-être ...Némésis. J'ai obéi, et je sais que Némésis ou quelque nom qu'elle porte me demande de retrouver la jeune femme - je sais que c'est une jeune femme qui a porté ce kimono, que j'obéisse à quelque chose mais je ne sais pas quoi encore.
Alors il me semble - avec crainte et tremblement - que je vais broder tout autour des oiseaux rouges en surimpression que vous ne pouvez pas voir, d'autres broderies qui peu à peu m'amèneront à la jeune femme. Elle m'appelle, je le sais !
mercredi 30 mars 2016
jeudi 24 mars 2016
vendredi 18 mars 2016
Bien ! Dit le lapin
puisque Alice a trop de abusé de Jet 51 - il n'y a plus d'enfants ! - nous "ses personnages", nous ferons avec Libelune.
mardi 15 mars 2016
mercredi 9 mars 2016
Ouf !
Il arrive, tout de même il y a des colliers magiques !!!
On ne pouvait tout de même pas laisser la pauvre Libelune dans une telle situation !
On ne pouvait tout de même pas laisser la pauvre Libelune dans une telle situation !
Help !
La pauvre petite Libelune est dans une drôle d'histoire, mais courage ! Elle va s'en sortir je vois une petite silhouette qui se dessine, certainement va la sortir de là !
Libelune pour le moment c'est juste Libelune...
Libelune pour le moment c'est juste Libelune...
mardi 1 mars 2016
J'aurais pu être une punk à la place je suis devenue
une brodeuse, une Sh T ChAd, une Libelune !
En attendant en 1945, Libelune elle attendait dans son berceau que sa mère vienne la chercher, le grand-père lui repartait !
C'est vrai qu'avec tout ça qui sait j'aurais pu être une punk, peut-être que ça m'aurait plu !
En attendant en 1945, Libelune elle attendait dans son berceau que sa mère vienne la chercher, le grand-père lui repartait !
C'est vrai qu'avec tout ça qui sait j'aurais pu être une punk, peut-être que ça m'aurait plu !
dimanche 28 février 2016
Souvenirs mais dans le désordre, ici enfance...encore !!!
Libelune entraînant sa cousine Marie Claude, le même âge à quelques mois près, mais il me semble qu'elle devait plus m'entraîner que je ne l'entrainais ! Nous nous aimions bien petite, puis ensuite quand nous nous sommes retrouvées et maintenant encore...
Le petit train du village, bien sûr maintenant dans les nuages
Et l'église pas ressemblante mais ce n'est pas le but !
La mère de mon père allant pleurer dans le jardin la mort de son fils le plus jeune et chéri.
Une, deux...bon ! beaucoup dans les nuages.....
Le petit train du village, bien sûr maintenant dans les nuages
Et l'église pas ressemblante mais ce n'est pas le but !
La mère de mon père allant pleurer dans le jardin la mort de son fils le plus jeune et chéri.
Une, deux...bon ! beaucoup dans les nuages.....
mercredi 24 février 2016
Récréation
Enfant, il y avait dans les petits livres que j'achetais deux jeux que j'aimais : relier les traits aux chiffres et voir apparaître ...ou trouver (souvent dans un arbre un lapin ou autre chose)
Là il faudrait trouver Libelune !
Pour le fantôme bienveillant, c'est facile, un peu en retrait comme il sied à...
Là il faudrait trouver Libelune !
Pour le fantôme bienveillant, c'est facile, un peu en retrait comme il sied à...
mercredi 17 février 2016
Les aventures de Libelune !
Les
aventures de Libelune
Wiesbaden
44/45, une ville relativement peu bombardée si j’ai bien compris mais quand
même !
Ma mère y
était ! Je suis l’enfant née d’une rencontre improbable qui se passe
parfois, en temps de guerre.
L’histoire
de Libelune, je crois croisera une autre
histoire, parce que celle de Libelune a commencé il y a un peu plus de 70 ans
et j’ai pris conscience que depuis, les bombes n’avaient pas cessé de pleuvoir.
Il n’y aura
pas que des histoires de bombes dans ses aventures, mais forcément les
histoires racontées par les parents ont impressionné la petite Libelune !
Bon ! Rien
n'est bien dessiné mais je crois, fort modestement qu'on reconnait bien le
fœtus volant, les bombes et le reste avec un peu d'efforts - oui je sais
c'est moi qui devrais faire les efforts - la dame - pas celle qui est tout en
noir ! ça doit être ma mère : dans mon souvenir de foetus !
Inscription à :
Articles (Atom)