jeudi 5 janvier 2017

En début de l'année 2017, les rêves de lecteurs, lectrices...

Rêves ! Rêves ! Des livres d'enfants souvent....

4 commentaires:

  1. "J’ai répondu à ton invitation à regarder ta nouvelle broderie et, comme souvent, je voudrais voir les sujets ou les objets plus grands qu’ils ne sont sur le tissu. Par exemple « mon papa » se lit bien mais la suite est difficile à déchiffrer, même si j’ai réussi. Est-ce que nous voyons un bateau sombrer ? Pourquoi la majorité des personnages ont les bras en l’air ? étonnés ou affolés ? On identifie bien le lecteur / papa mais qui est ce « diable » à côté de lui… et pourquoi tant de cornes, des noires, des grises, des rouges (?) ? J’aime beaucoup les petites fleurs à côté du sapin mais je vois plus de questions que de réponses dans cette broderie et encore une : quel est ce château… celui de la belle au bois dormant ? Et qui est ce bel hidalgo avec sa cape rouge ?
    Je suis ravie que tu prennes tant de plaisir à broder au sens propre comme au sens figuré ! C’est une immense richesse !" L

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    1. Je ne pense pas qu'il coule mais on peut tout imaginer, les personnages courent je pense mais pourquoi pas être étonnés ou affolés (le diable à côté du papa, peut-être bien ce qui nous accompagne aussi, mais on le jugule en principe !!! les couleurs des cornes pour le plaisir des couleurs. Je ne m'étonne pas que tu aimes les petites fleurs et moi aussi ! Je te les offre !

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  2. "Tout jeune, et beau garçon, le papa. Libelune n'est donc pas encore née. Comment sait-elle alors qu'il rêvait aux rousses? Quoi qu'il en soit, c'est dans les bras d'une dame blonde qu'elle se laisse porter, à l'avant-plan, je reconnais ses blondes nattes redressées et ses yeux bleus.
    Au-dessus du papa, un dauphin rose, portant un p'tit bonhomme, suit le tracé du bateau. Le chevalier noir à la belle cape rouge, parait être relié par un panache blanc au bateau rouge et noir lui aussi.

    En haut vers la droite, une maman ouvre grands les bras pour accueillir son enfant qui se précipite vers elle, lui aussi bras ouverts,elle a mis les vêtements aux couleurs assorties à celles de l'enfant, heureux qu'ils sont de s'être enfin retrouvés. Mary-Ann"

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    1. Oui mais je pense qu'il rêvait déjà !Amusant, rousse, il appelait la mère de Libelune : Rouquilaine, je te raconterai!
      Tu as bien reconnu Libelune ! peut-être...porté par elle-même, si ! si ! Un grand merci Mary Ann la fidèle qui est pourtant si occupée !

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