jeudi 14 août 2014

Que dire ?

Oui que dire ? La brodeuse a simplement transcrit quelque chose qui lui importait, sans bien savoir quoi ? Si elle a mal transcrit, qu'il lui soit pardonné ! Sh T ChAd

6 commentaires:

  1. Je ne sais pas ce qui importait à la brodeuse mais si elle-même ne sait pas, alors !... Les couleurs sont plus somptueuses que jamais : le fond est magnifique et le "chiné" des vêtements est vraiment très réussi. J'adore les chignons japonais avec des "baguettes" mais son beau chignon ne semble pas la rendre heureuse et je ne sais pas si ses mains jointes nous saluent, nous remercient ou nous présentent ses excuses... mais pourquoi ? Que de questions ! A quand les réponses ? L.

    RépondreSupprimer
  2. Elles vont venir peut-être déjà pendant que tu regarderas avec bonheur le miroitement de la mer, les lumières au loin.....

    RépondreSupprimer
  3. "Une Frida, féministe queer fin années 80, révoltante pour les patriarcaux, révoltée contre eux. Et pourtant, cet apaisement de la gueisha, par delà les couleurs. Merci pour le clin d'oeil: surtout, pour la belle réinterprétation, liante, élaborée, rassemblante et aimante. Tu as réussi à unir les deux, Frida, gueisha! et qui plus est dans quelque chose d'incroyablement harmonieux. Bel art, ma ShtchAd, belle intensité sentie!" T

    RépondreSupprimer
  4. "Wikipédia : Une geisha (芸者, geisha), plus souvent appelée geiko (芸妓, geiko) à Kyōto, est au Japon une dame de compagnie raffinée réservée à une clientèle très aisée…
    J'aime.
    Les mains jointes pour l'humiilité, le "Aligato, sayonara" ?
    J'aime assez le commentaire de T, le mieux placé pour dire. "Frida féministe queer".
    Bravo brodeuse."

    RépondreSupprimer
  5. Merci dame discrète pour tout et le : "j'aime"

    RépondreSupprimer