Ayae Satô me regarde en souriant : nous avons quitté très vite le Japon.
Pour Paris, mon mari travaillait là-bas.
- Avez-vous pensé retourner...là-bas ?
- Non
J'avais rencontré Madame Satô dans une mercerie, elle portait un panier très lourd, je lui ai proposé de le porter. Elle a accepté. Pour me remercier m'a invité à prendre le thé.
Je regarde le bol si fragile, lorsqu'elle me l'a montré la première fois, elle m'a dit : "c'est un bol de rêve, un bol pour rêver, ou l'intérieur et l'extérieur se confonde.
"J'aime vraiment beaucoup ton "bol de rêve" plein de finesse et de poésie. ..., touchant dans sa fragilité et tout son potentiel aussi (fleurs ? fruits ?..)" Liliane
RépondreSupprimerMoi aussi je l'aime, peut-être comme les baies rouges de l'automne
Supprimer"j'ai vu le blog : très beaux Sayonara 5 et 6, la dame aux 7 kimonos, très zen, le bol de rêve fait de fine porcelaine." M S
RépondreSupprimerIl y a quelque chose de zen dans cette histoire même si ce n'est peut-être pas tout à fait la scène des kimonos mais c'est vrai que ça devient paisible.
Supprimer"enfin j'ai pu regarder les délicieuses histoires de cette petite japonaise
RépondreSupprimeret quelle beauté l'accompagne
délicatesse et légèreté on rêve .." Sarah
oui rêve, rêver à conjuguer, rêver avec les fils, en jouant du piano n'est-ce pas ?!!!
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