vendredi 19 avril 2013

Jeux de mains ou...prête-moi ta main !




Ce ne sont que quelques mains, des mains amies, il y a d'autres pour une autre fois mais pourquoi des mains et pourquoi les broder ? J'aime regarder les mains, les gestes que l'on fait avec les mains, une main qui s'élève, reste en suspens, des mains immobiles et puis il y a un ami, un tatouage...fascinée au point que...non ! pas pour moi mais alors comment réaliser ce désir si ce n'est à ma façon, en brodant, après tout une aiguille et à la place d'encres, des fils, et un vagabondage certainement interdit à un maître tatoueur mais à moi c'est permis, je ne fais pas mal, je rêve, des mains, des amis, des amies qui m'ont prêté leur main, que j'ai reproduite, que j'ai...rêvé, à nouveau toujours...
Il fait gris à nouveau, je vais donner à manger aux mésanges pour le plaisir de les voir picorer, je ne devrais pas, elles ont de quoi maintenant et puis je vais inventer ma drôle de broderie en pleurant, riant, ça sera selon...le moment
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8 commentaires:

  1. Anonyme19 avril 2013 à 10:31

    Je ne me souviens pas de quand datent tes "jeux de mains" mais c'était une si bonne idée ! Invente encore ta broderie mais je préfèrerais que ce ne soit pas en pleurant, car elle serait trop triste à contempler : reste dans la fantaisie et prends soin de toi !
    Liliane

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    1. F. Grenier Richir19 avril 2013 à 10:42

      Promis, c'est à quoi je m'emploie avec une drôle de chose que je brode

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    2. Anonyme23 avril 2013 à 00:34

      Moi aussi je déteste l'idée que tu pourrais pleurer en brodant, mais je sais que cela est possible, broder c est un peu écrire son histoire avec son propre sang, le sang des poetes...

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  2. F. Grenier Richir23 avril 2013 à 09:23

    Dis-moi ton nom tendre ami ou amie qui détesterait que je pleure en brodant, heureusement ça n'arrive pas souvent.

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    1. Anonyme23 avril 2013 à 12:23

      Te dire mon nom? mais tu le sais déjà! le vent te l'a soufflé il y a longtemps dans les forêts du Jura de ton enfance, dans les craquements de la neige sous tes pas, les nuits de noël, j'étais là depuis toujours, tu m'as appelé et je suis venu,j'ai vu tes joies, j'ai vu tes peines... Je ne veux pas encore te dire qui je suis, parce que je crois que secrètement je veux vraiment que tu devines...ta broderie déposait, on dirait les boules de neige de l'enfance, celles que l'on retourne et qui font tomber de gros flocons sur des univers féeriques ou l'on se voit en rêve...

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    2. F. Grenier Richir23 avril 2013 à 13:36

      Oui je pensais bien qu'il s'agissait de toi ma fille bien aimée...mais je doutais tant de baladins jouent insaisissables. Que je t'aime mon cadeau de Noël..

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  3. Anonyme26 avril 2013 à 11:18

    A propos de main ... c'est vrai que je ne t'ai toujours pas donné la mienne ... S.P.

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  4. F. Grenier Richir27 avril 2013 à 03:49

    donc point d'argentine mais tu es de tant de pays...et non ! Tu ne m'as pas donné ta main !

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